Expliquer les maladies qui attaquent le haricot et le maïs dans le territoire d’Uvira précisément à Luvungi et à Bibokoboko dans le territoire de Fizi, comment les identifier et les moyens de lutte, c’est parmi les objectifs d’une formation des bénéficiaires et partenaires de mises en œuvre sur les techniques de production des semences de haricot et de maïs.
Des assises tenues à la fin du mois de Mai et rendu public avant la restitution prévue en ce début de Juin.
A l’issus de ces assises, 4 modules ont été développés sur les techniques de production des semences de haricot, les techniques de production de maïs, la gestion des maladies et l’installation et collecte des données dans les champs de démonstration.
A cet effet, 100 dépliants avec des messages sur les techniques de production de haricot et maïs ont été distribués dans Luvungi et Bibokoboko.
Le tout avec comme mission d’améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations grâce à l’implication de l’organisation CIAT travaillant en partenariat avec l’Institut National d’Etudes et Recherche Agronomiques INERA, le Service National de Semences SENASEM, le Service National de Vulgarisation SNV, IITA et d’autres partenaires de mise en œuvre pour bien mener les activités du projet PICAGL.
Durant deux jours à Luvungi et à Bibokoboko les participants les bénéficiaires ont appris comment installer les parcelles de démonstration et comment collecter les données dans ces parcelles afin d’espérer à un bon rendement.
Et d’ajouter que les bonnes pratiques agronomiques pour la production des semences de haricot et la Gestion post-récolte de Maïs et Haricot, les bonnes pratiques agronomiques pour la production des semences et La gestion des Maladie, s’avèrent indispensables pour une bonne préparation du sol afin de réussir la culture et le labour ameublit de la terre.
Ceci passant par l’introduction de nouvelles variétés des semences enrichis en micronutriment et éléments nutritifs.
En somme, les participants recommandent au CIAT de distribuer encore la semence de haricot car les membres n’ont pas suffisamment des semences et que ces genres de formation soient organisés régulièrement pour leur permettre de connaitre davantage les différentes maladies qui attaquent les haricots et les maïs.
De retour de Bibokoboko, Eric Chokola
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