Initialement prévue le 1è Mars 2024, la clôture du dépôts des candidatures des gouverneurs et vice-gouverneurs ainsi que des sénateurs est reporté au 8 Mars 2024 sur toute l’étendue de la République Démocratique du Congo ce 1/Mars/2024.
Dans cette course, plusieurs figures politique apparaissent avec comme ambition d’une part gouverner la province du Sud-Kivu et d’autres part représenter le Sud-Kivu dans la chambre haute du parlement.
Un temps pour les élus provinciaux de contribuer au décollage du Sud-Kivu mettant un accent particulier sur le profil d’un bon candidat lors des élections.
Ceci, afin d’apporter un vent nouveau au Sud-Kivu, estime l’un des analystes politique et notable au Sud-Kivu dans un entretien avec le reporter de talentd’or.
Pour Mé Christian WANDUMA un bon candidat gouverneur ou vice-gouverneur doit remplir deux conditions entre autres la maitrise du circuit financier et la maîtrise du secteur sécuritaire.
Face aux turbulences économiques et sécuritaires où la population du Sud-Kivu a besoin d’avoir quelqu’un qui maitrise ces secteurs,
il motive son hypothèse par le fait qu’on ne peut pas prétendre à un développement de lors que la population vivante dans les 7 territoires du Sud-Kivu ne sait pas aller au champ parce qu’il y a l’insécurité.
Situation qui accentue la famine et la malnutrition dans plusieurs villages tout comme en ville et cela à la solde de la maladie de kwashiorkor.
Ce qui prouve selon Mé Christian WANDUMA que l’aspect sécuritaire prime pour un gouverneur qui veut diriger la province du Sud-Kivu.
A cela il ajoute que doit être un gouverneur un gouverneur du Sud-Kivu, celui-là qui maitrise le circuit financier, capable de mobiliser les fonds permettant de construire des routes et payer les personnels.
Des qualités faisant de lui un technocrate sur le plan financier avec possibilité de rehausser le budget de la province pour ainsi réhabiliter différentes infrastructures.
Toute chose restante égale par ailleurs, Mé Christian WANDUMA n’a pas mis à coté l’aspect relationnel.
Il estime que le candidat gouverneur est celui qui doit être également en bonne relation avec l’assemblée provinciale mais aussi se déchainer des téléphones de Kinshasa et garder la qualité de l’indépendance.
Face à ce qui précède, il estime que Emile MISEKA SUMAILI possède toutes ces qualités car outillé sur le plan financier avec la parfaite maitrise de la mobilisation des recettes.
A propos des élections des sénateurs, Mé Christian WANDUMA pense que les bons sénateurs ne sont pas ceux qui ont postulé pour protéger leurs fortunes à travers les humilités une fois élus.
Voilà pourquoi notre source conclue par l’invitation aux députés avisés à miser sur les atouts des candidats et non les injonctions des autorités morales pour voter un gouverneur, vice-gouverneur ou sénateur lors des élections prévue fin mars début avril.
Eric CHOKOLA et Aciza KATERA
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