720 dollars et plus de 20 sacs de ciment, c’est le rapport de la toute première récolte des fonds faite par l’asbl Jenga Tumaini dans l’opération lancée pour redynamiser le projet générateur de revenu à Kashusha. Tout est intervenu lors de la journée porte ouverte le week-end dernier.
Malgré la distance et le climat incertain, des pionniers et certains bienfaiteurs du projet jenga tumaini se sont mobilisés de Bukavu vers Kashusha pour visiter les réalisations de ladite asbl.
Sur place, ces derniers visitent l’atelier de coupe et couture professionnelle qui encadre des personnes vulnérables de Kashusha, le centre informatique à travers lequel la nouvelle technologie s’installe petit à petit dans cette entité et le salle de vanerie dans laquelle des objets d’arts sont fabriqués, avant de se rendre sur la parcelle où Jenga Tumaini érige un dispensaire moderne et en suite sur différents airs de jeux sur lesquelles ils vont essayer toutes les pièces qui y sont installées.
Le moment fort était celui de déguster de la bonne musique dans la salle de musique où tous étaient emballés dans un rythme musical extra par une fillette qui n’avait jamais touché un instrument à Jenga Tumaini, le tout avant la collecte de fonds et la présentation des activités de Jenga Tumaini et ses perspectives par son président du Conseil d’Administration.
Réjouissance pour ces visiteurs qui invitent le Docteur Patrick BULAMBO à demeurer sur la même lancée.
« c’est en tout cas un projet à appuyer pour quiconque veut le développement local. Moi, je promet mon appuie à Jenga Tumaini pour y parvenir. Je vais apporter mon soutien pour que la misère reste au passé dans les jours qui viennent à Kashusha et dans tout Kabare grâce à Jenga Tumaini » un des bienfaiteurs.
Occasion pour le PCA de Jenga Tumaini d’annoncer la relance du projet de poulailler à travers ces collectes de fonds et d’autres projets qui pourront contribuer à l’autonomie de la population de Kashusha.
En somme il souhaite voir toute personne de bonne volonté l’accompagner dans ce projet afin d’améliorer les conditions socio-économiques paralysées à Kashusha.
Judien SADIKI
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